Si vous envisagez de subir une telle intervention, vous avez certainement fait quelques recherches sur le web et lu certaines idées fausses. Nous allons donc passer en revue les mythes les plus courants.

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« Je n’aurais plus de vie sociale après la chirurgie bariatrique »

Bien-sûr que si, vous pourrez toujours dîner en famille, chez un ami ou dans un bon restaurant. Si l’on vous sert quelque chose qui n’est pas en accord avec vos habitudes alimentaires postopératoires, mangez peu ou excusez vous de ne pas pouvoir manger. Si vous cuisinez à la maison, faites les bons choix en préparant votre repas, et prenez le temps de manger. Lorsque vous dînez au restaurant ou chez des amis, préférez un plat léger et évitez de passer par la case dessert. La vie sociale d’un individu ne change pas après une intervention bariatrique à moins qu’il n’en ait décidé autrement.

« Je serais constamment aux toilettes »

De nombreuses personnes qui envisagent de subir une opération pour maigrir à Tunis posent cette question. Si vous mangez trop gras ou trop sucré après la chirurgie, vous souffrirez probablement du syndrome de chasse. Cela dit vous êtes aux commandes de vos choix, alors choisissez sagement. Nous faisons tous des erreurs, et c’est la seule manière d’apprendre. Cependant si vous passez le plus clair de votre temps aux toilettes après l’intervention, il vous faudra examiner de plus près vos repas.

« Je vais devoir boire des boissons protéinées toute ma vie »

Absolument pas, les meilleures sources de protéines sont les suivantes :

  • œuf
  • Poulet
  • Poisson et fruits de mer
  • Noix
  • Lait et yaourt

Votre menu quotidien peut être varié, sans nécessairement inclure de boissons protéinées.

« Les risques sont énormes »

Toute opération chirurgicale sous anesthésie générale comporte un risque. Le stress augmente souvent à l’approche de la date de l’opération et les questions fusent : « ai-je réellement fait le bon choix ? », « si quelque chose tourne mal, je ne pourrais m’en vouloir qu’à moi-même », et cela est naturel. Un chiffre récent pourra toutefois conforter votre choix : 0.07%, étant le taux de mortalité du bypass gastrique.